Guest User
February 27, 2024
L’hôtel mérite 5 points, comme la majorité des commentaires précédents. Les chambres sont magnifiques, spacieuses, il pourrait y avoir la place d’un petit fauteuil ou d’une commode pour poser et ranger nos affaires. Le design de l’hôtel est superbe, la piscine suffisante et bien équipée de transats avec des parasols bien couvrants. Dommage cependant : aucun transat sur la plage, quelques jolis parasols en crochet qui ne protègent pas du tout du soleil. Tout le staff de l’hôtel est aux petits soins pour nous, une mention 5 étoiles à notre butler, Janet. A noter : pour arriver à l’hôtel, il faut traverser un village très pauvre et une route défoncée . Les hôtels de bord de mer pourraient peut-être financer un accès pour les clients qui pourraient également profiter aux populations locales ? Alors, pourquoi seulement 2 ? - le « all inclusive » est mensonger : seulement quelques boissons sont comprises dans le prix. Pour le vin, après 1 verre du vin « dégustation », impossible d’en avoir un 2ème verre, on vous sert à la place un vin imbuvable (pareil pour les blanc, rosé et rouge). Si vous voulez reboire le « vin dégustation », c’est 40 $ Le champagne est en fait du Prosecco… servi insuffisamment frais. - les menus sont imposés, servis à table, très peu de choix. Très peu de quantités, beaucoup de sauces pour masquer les économies de viandes ou poissons. Aucun grignotage possible en journée, alors que les propositions sont nombreuses dans tous les autres hôtels all-inclusive que nous avons expérimentés dans le monde entier. Les fruits servis au petit-déjeuner ne sont pas mûrs, les pancakes sont secs, les yaourts aux fruits ont quelques petits morceaux de fruits éparpillés. Pas de confiture, pas de miel si vous n’en réclamez pas. Avec les œufs sont servies des saucisses immangeables. - pour accompagner les apéritifs limités (la plupart sont payants), rien à grignoter non plus… La vérité est plus proche de : repas et boissons comprises, que du all-inclusive. - et le bouquet, c’est l’attitude choquante du directeur, M. Amanuel : un groupe de jeunes zanzibarites arrive sur la plage, à plus de 20 mètres de l’hôtel, et commence à danser Jerusalema, avec leur enceinte musicale posée sur le sable. Spectacle agréable et plutôt bien dansé. Le directeur, dans les 2 minutes, est surgi de nulle part, et leur a pris leur appareil musical. Médusés, les 8 jeunes gens n’osaient rien dire ni rien faire, nous sommes intervenus pour demander au directeur de quel droit il leur confisquait leur appareil musical. A part nous répondre que cela faisait 20 ans qu’il vivait en Afrique, aucune réponse valable justifiant son geste. Quand nous lui avons demandé ce qu’il allait faire de leur appareil, il a dit le rendre au chef du village. Nous lui avons demandé de dire aux jeunes de partir mais de leur rendre leur musique, il a refusé. En surplus, la responsable du SPA nous a agressés verbalement, en nous demandant si nous étions prêts à faire entrer ces jeunes dans notre cham
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