Guest User
October 9, 2024
Nous avons séjourné le week-end dernier à l'Abbaye des Vaux de Cernay, avec des attentes que je croyais pourtant réalistes pour un établissement de ce standing. Malheureusement, elles se sont révélées trop optimistes. Tout a commencé à la Trattoria, où nous avons souhaité déjeuner sur la terrasse du Betty Bar. On nous a informés que le service n'était pas disponible à cet endroit. Nous avons donc accepté de déjeuner à l'intérieur, mais quelques heures plus tard, à notre grande surprise, plusieurs clients profitaient finalement de la terrasse. Un privilège qui ne nous était visiblement pas accordé. Ensuite, la piscine. Quelle déception de découvrir l'absence de serviettes. Après 20 minutes d'attente et plusieurs tentatives infructueuses pour joindre la réception (qui n'a répondu qu'après 6 minutes), nous avons finalement obtenu des serviettes. Pas vraiment le niveau de service auquel on pourrait s'attendre dans un tel établissement. Le petit déjeuner maintenant : quelle agréable surprise de découvrir en fin de journée que celui-ci serait servi à la Trattoria, et non au réfectoire des moines. Mais bien sûr, pourquoi s’attendre à prendre ce repas dans le réfectoire des moines, le lieu emblématique de l’abbaye, après tout ? Ce n’est pas comme si c’était l’un des principaux attraits de l’endroit. Le dîner à l'Auberge était plutôt agréable, avec une ambiance festive et un pianiste sympathique. Cependant, la navette prévue pour nous chercher en 10 minutes est finalement arrivée après 25 minutes d'attente. De plus, le menu qui m'avait été envoyé lors de la réservation ne correspondait pas à celui sur place : une augmentation de 4 € pour le poulet et la disparition de la soupe. Ce n'était apparemment pas la première fois que cela se produisait, car une amie a également eu une expérience similaire deux mois auparavant. Pour finir, une simple carafe d'eau dans la chambre aurait été un minimum. J'ose espérer qu'il ne faut pas boire l'eau des toilettes... En conclusion, mon séjour à l'Abbaye des Vaux de Cernay m'aura appris une chose : il vaut mieux revoir ses attentes à la baisse, même dans un cadre aussi prestigieux.
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